C’est l’histoire d’une très belle PME – qui a de beaux atouts – mais risque de mourir ! Une belle PME comme beaucoup d’autres !
Pourquoi lorsque l’on a un savoir-faire rare, un produit efficace, des réalisations historiques somptueuses, des équipes non revendiquantes, des patrons intelligents, pourquoi va-t-on mourir ou au moins le risque-t-on de manière forte ?
Pourquoi y a-t-il des belles endormies ? Et pire encore, déjà, des Ophélies flottant au fil de l’eau.
Il y a 10 ans, il y a 15 ans, l’entreprise était florissante. Chacun savait comment faire. Les choses étaient en place, et ce qui était en place était fonctionnait !
Et puis, le monde a bougé. Comme la grenouille dans la casserole d’eau froide dont la température à monté ne s’aperçoit pas que l’eau est maintenant bouillante, l’entreprise peu à peu s’est retrouvée en perdition et n’a rien vu venir.
Les anciens fonctionnements ne suffisent plus. Les produits, les services, les liens relationnels doivent changer. Brutalement les pertes sont là !
Le patron autrefois fier de lui, d’une fierté simple, de bon aloi, proche de ses équipes, tout à coup se sent inapte. Il se met à « raser les murs ». Les équipes ne comprennent pas cet éloignement, lui en veulent, se sentent perdues. Ne se comprennent plus entre elles.
On se met à faire la course au chiffre d’affaire, coûte que coûte, pour sauver les emplois. Mais l’entreprise s’enfonce inexorablement.
Alors ! Alors ???
Oh messieurs les patrons d’Entreprise, on ne peut pas tout voir de l’intérieur !
Comme la grenouille dans l’eau, on s’habitue trop bien à la lente érosion de ses propres fonctionnements, de sa compétitivité, de ses fonctionnements, de son positionnement par rapport au marché et à l’évolution du monde.
Il faut toujours garder un œil extérieur, un œil hors du cadre.
Comment le faire tout seul ?
C’est le travail du consultant !
C’est ça la puissance ! Savoir s’entourer ! Savoir trouver cet œil tiers !
C’est tant que vous êtes riches que vous devez faire appel aux conseils extérieurs.
Et, en pleine amitié, n’attendez pas qu’il soit trop tard et que cela soit douloureux !
« Mal pense qui ne repense » – Jean II Le Bon
Commentaires récents