Je suis inscrit à un groupe Linkedin « Hopital numérique ».

L’enjeu de la santé est un enjeu fort pour tous.

La solution pour une santé forte est de moins en moins l’attribution de moyens. Ces moyens ont disparus ou sont empruntés à nos enfants par la dette.

J’osais ce jour la contribution suivante à ce groupe et à cette réflexion favorable :

« Hôpital numérique – certainement c’est bien d’y réfléchir et d’y aller.

Certainement cela permettra de grandes avancées et cela aura en même temps des inconvénients forts.

Voyons alors si les avancées sont de 60% et les inconvénients de 40% et travaillons en même temps sur ces inconvénients pour les éliminer peu à peu.

Mais ne nous arrêtons pas sur eux pour justifier de ne vouloir les avancées !

Et au-delà – avant même le numérique, ne devrait-on regarder d’abord le management et l’organisationnel ?

De la même manière que dans une approche numérique de la santé, dans l’approche organisationnelle chaque plus amène un moins qu’il faut régler tranquillement. Chaque avancée amènera une possible régression collatérale qu’il faudra anticiper et prévenir.

Mais comment faire avancer les hôpitaux si tout intervenant conseil doit être habilité et normé auparavant par les ministères qui ainsi rigidifient tout et interdisent l’expérimentation locale ?

Comment aussi mobiliser les consultant habiles et globaux si les tarifs acceptés sont limités à 700 € de la journée alors que dans le privé le même consultant, par ce qu’il va faire gagner va justifier au moins 1100 à 2000 € ?

Sans aller dans l’excès, il faudrait ouvrir un peu et ne pas penser que le privé est forcément sans âme et mangeur d’hommes.

La base, c’est l’écoute et la compréhension des gens et des problèmes, puis l’expérience pour la proposition de solutions pratiques qui font gagner l’objectif et les personnes.

Et nous avons tous envie d’une structure de santé heureuse et efficace. »